Les quatre derniers contes de Michel Ocelot inédits au cinéma !

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Le distributeur Septième Factory sort dès demain un programme inédit de Michel Ocelot ! Intitulé Ivan Tsarévitch et la princesse changeante, il propose aux spectateurs quatre contes inédits (L’écolier sorcier, Le pont du petit cordonnier, Le mousse et sa chatte, Ivan Tsarevitch et la princesse changeante) sur grand écran de treize minutes chacun, tous réalisés par Ocelot. C’est la « suite » de Les contes de la nuit, un autre programme de six contes (Le loup-garou, Tijean et la belle-sans-connaître, L’élue de la ville d’or, Le garçon tam-tam, Le garçon qui ne mentait jamais, La fille-biche et le fils de l’architecte) sorti le 20 juillet 2011 du même réalisateur.

[message]Tous les soirs, une fille, un garçon et un vieux projectionniste se retrouvent dans un cinéma qui semble abandonné, mais plein de merveilles. Les trois amis inventent, dessinent, se déguisent et s’imaginent les héros de contes merveilleux. Des profondeurs de la terre, aux confins de l’orient, ils rivalisent d’imagination pour incarner princesses et aventuriers : « La Maitresse des Monstres», « L’Ecolier-Sorcier », « Le Mousse et sa Chatte » et « Ivan Tsarévitch et la Princesse Changeante ».[/message]

Pour tout vous dire, il a réalisé dix contes après son long-métrage Azur et Asmar, soit entre 2006 et 2011. Au départ, ils ont été imaginés pour la télévision mais, à force de projection sur grand écran, la décision de les porter au cinéma a été prise, avec un travail d’adaptation en amont. La première sortie comportait donc six contes sur dix et a été proposée en salles par StudioCanal. La sortie en plein été n’a pas aidé le programme a gagner en visibilité et n’a donc récolté « que » 229 572 places cumulées en quatre semaines d’exploitation. Un chiffre modeste pour Michel Ocelot puisqu’il est habitué a dépasser le million de spectateurs pour chaque projet. Demain, Septième Factory va proposer les quatre derniers contes en espérant faire mieux. Croisons les doigts et déplaçons nous au cinéma !

Pour la petite histoire, Michel Ocelot, toujours très impliqué dans ses créations du début jusqu’à la sortie, a même réalisé l’affiche du film visible ci-dessus. Aujourd’hui, il prépare un nouveau long-métrage : Dilili à Paris. Il nous en parle :

Après avoir célébré de nombreuses civilisations à travers le monde (4 dans le cas de « Ivan Tsarévitch et la Princesse Changeante » !), je célèbre une civilisation que je connais assez bien, la civilisation française. Je la place dans une ville remarquable, Paris, à une époque séduisante, la Belle Époque. Ce monde est exploré par une petite métis kanake-française, Dilili. Parallèlement à un joyeux foisonnement de talents, hommes et femmes ensemble, j’expose une autre manière de faire, avec tant d’hommes qui maltraitent femmes et fillettes. Il y a des bons et de très méchants… Cela reste un conte de fées, débordant de joies et d’informations.

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Créateur et rédacteur en chef du site. Passionné de cinéma d'animation depuis ma tendre enfance, j'ai monté le site afin de partager à un maximum de personnes mes découvertes.

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